. séquence 1 séquence 2 séquence 3 séquence 4 séquence 5 séquence 6 séquence 7 séquence 8 Dans le ruban


Deux vidéoprojecteurs. L'un serait piloté par Alexis, dédié a des signaux lumineux unis et dirigé vers le plafond pour illumer la scène de façon réfractée.


Dessiner d'autres chemins. Chemins possibles ? Following Cage ? Cage dessinateur unique du multiple ? Auteur unique ? Oui mais déjà artiste problématique de la démultiplication...


La lumière du vidéoprojecteur qui réfracte la lumière rend l'espace vibratile. Jeux de rythmes, successions...


...alors je dis à Gwenola, « Etrangement, la perception des plans, de la spatialité depuis un train, ne se traduit pas par "plus c'est loin, plus c'est petit", mais "plus c'est loin, plus c'est lent" », et cela a alors plus de chance de rester longtemps visible, présent. J'ai alors repensé à ce qui restait longtemps -ou pas- dans une histoire.


Flatland, un univers dans lequel on navigue et dont l'apparence change au fil du temps / plus ou moins dense, plus large au (nord) en haut de la page ; étroit et étiré en bas. En haut tout est écarté, les objets s'éloignent, tout est distant et dilaté, en bas, on est comprimé, serré, étriqué.
Ce ne serait qu'au fil du temps que le spectateur comprendrait le processus.


Alors, comme pour se faire une idée de cette distance, les lignes de la partition de Cage se transforment en chemin...